Exploration Martienne
Dans ce mini-roman, les trois héros de Rosny se rendent sur Mars dans le Stellarium, un vaisseau spatial propulsé par la gravité artificielle et fait d’argine, un matériau transparent indestructible. Sur Mars, les trois explorateurs humains viennent en contact avec une race pacifique de créatures Tripèdes, possédant 3 jambes et six yeux, néanmoins très belles.
« Mais comment décrire ces visages ? Comment faire concevoir leur forme rythmique, comparable à celle des plus beaux vases hellènes, les nuances ravissantes de leur peau, qui évoquaient ensemble les fleurs, les nuages crépusculaires, les émaux égyptiens ? »
Cette race se voit remplacée tranquillement par les Zoomorphes, des entités minérales primaires allant de la taille d’un caillou jusqu’à celle d’un dinosaure. Les trois explorateurs font alors tout en leur pouvoir pour empêcher la lente agonie de la race intelligente.
Ce titre est considéré comme un des plus importants de la carrière du grand-père de la science-fiction française, Rosny (aîné) pseudonyme de Joseph Henri Honoré Boex (président de l’académie Goncourt 1926-1940). Il s’agit de la première oeuvre du genre à utiliser le terme astronautique. Également, à mettre en scène un rapprochement sentimental entre un mâle humain et une femelle extra-terrestre.
J’ai beaucoup apprécié la manière dont le lecteur est interpellé. Chaque nouvelle découverte est décrite avec précision et finesse. Ceci fait en sorte le lecteur devient un peu le quatrième voyageur de cette expédition. Bien que la science soit au premier plan, le fond demeure très humain et la prose est étrangement poétique. Une aventure qui symbolise bien la période de l’âge d’or de la science fiction et dont les thèmes ont été répétés par les auteurs modernes qui ont par la suite contribué à l’expansion du genre.
Dans ce mini-roman, les trois héros de Rosny se rendent sur Mars dans le Stellarium, un vaisseau spatial propulsé par la gravité artificielle et fait d’argine, un matériau transparent indestructible. Sur Mars, les trois explorateurs humains viennent en contact avec une race pacifique de créatures Tripèdes, possédant 3 jambes et six yeux, néanmoins très belles.
« Mais comment décrire ces visages ? Comment faire concevoir leur forme rythmique, comparable à celle des plus beaux vases hellènes, les nuances ravissantes de leur peau, qui évoquaient ensemble les fleurs, les nuages crépusculaires, les émaux égyptiens ? »
Cette race se voit remplacée tranquillement par les Zoomorphes, des entités minérales primaires allant de la taille d’un caillou jusqu’à celle d’un dinosaure. Les trois explorateurs font alors tout en leur pouvoir pour empêcher la lente agonie de la race intelligente.
Ce titre est considéré comme un des plus importants de la carrière du grand-père de la science-fiction française, Rosny (aîné) pseudonyme de Joseph Henri Honoré Boex (président de l’académie Goncourt 1926-1940). Il s’agit de la première oeuvre du genre à utiliser le terme astronautique. Également, à mettre en scène un rapprochement sentimental entre un mâle humain et une femelle extra-terrestre.
J’ai beaucoup apprécié la manière dont le lecteur est interpellé. Chaque nouvelle découverte est décrite avec précision et finesse. Ceci fait en sorte le lecteur devient un peu le quatrième voyageur de cette expédition. Bien que la science soit au premier plan, le fond demeure très humain et la prose est étrangement poétique. Une aventure qui symbolise bien la période de l’âge d’or de la science fiction et dont les thèmes ont été répétés par les auteurs modernes qui ont par la suite contribué à l’expansion du genre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire