Pour sûr pas des super-productions américaines truffées d'effets spéciaux tous plus ou moins fatigants et au moins percutants comme un marteau pilon sur une plaque de verre, l' horreur pour moi.
Pour le premier il s'agit d'un film que je n'avais jamais vu mais dont, évidemment, j'avais beaucoup entendu parler.
Des dieux et des hommes qui conte la funeste aventure de ses moines de l'Atlas qui vont malheureusement avoir une fin tragique et inique.
Le monde est fou et cette histoire l'illustre malheureusement que trop bien.
Des moins implantés depuis des lustres dont tout le mal est d'avoir soigné, aidé les habitants du bled.
Il reste de nombreuses part d'ombres dans ce dossier et je vais lire sous peu l'enquête qui les concerne réalisé par René Guitton.
Lambert Wilson que j'apprécie peu par ailleurs incarne majestueusement le prieure Christian et Londasle est égale à lui-même, c'est à dire excellent dans l'incarnation de frère Luc.
Bref, un moment de recueillement et de réflexion à la vision de ce film qui marque l'évènement de cette triste époque qu'à vécue l'Algérie.
Le second fait partie de la même catégorie, c'est à dire de ces films intimistes qui ouvrent l'esprit.
Il s'agit de :
Où l'histoire d'un jeune héroïnomane qui se retrouve en montagne au sein d'une communauté religieuse et qui va découvrir tout ce que recèle son cœur et la prière.
Il va surtout ce découvrir, se retrouver face à lui-même devant les autres compagnons.
Un film sobre qui s'attache à l'essentiel, qui procure de la joie car il démontre qu'avec résolution, détermination, encouragement et foi chaque homme possède sa chance.
Sa chance car il faut croiser les bonnes personnes sur les bons chemins ce qui n'est pas toujours évident.
Il me semble avoir ressenti une certaine ressemblance avec l'oeuvre du Père Guy Gilbert qui a reconstruit une ruine dans le Verdon pour y accueillir des jeunes désoeuvrés en reconstruction.
Film vivement recommandé.
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