J'avais deux a prioris qui ne me faisaient pas m'engager dans cette lecture avec enthousiasme.
Le premier c'est que j'ai eu une mauvaise expérience avec GDM et son Boule de suif, qui m'avait déçu.
Le deuxième c'est que je n'apprécie pas outre mesure les nouvelles.
Ce recueil m'a réconcilié avec le genre et l'auteur.
La première, La maison Tellier, est transcendante au sens propre et oecuménique, voir arriver cette bande de poulettes dévergondées à l'église et les laisser enflammer l'homélie a été très jouissif.
La dernière, La femme de Paul, retient toute mon attention au delà des moeurs, mais surtout pour la description d'un Paris et de sa banlieue qui ont maintenant disparu.
Les tombales, manque de développement,
Le papa de Simon, est juste un peu niaise et sans grand intérêt,
En famille, est aussi très jouissif.
Un recueil inégal, mais qui me permet de rédécouvrir GDM, son stylem'a particulièrement fait voyager avec beaucoup de nostalgie, dans ce Paris de Dandys, de cocottes et de yoles.
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