jeudi 15 décembre 2011

Je vais bien ne t'en fais pas de Olivier Adam




A la recherche du temps perdu...

Olivier Adam constitue le fer de lance de la littérature que j'apprécie, une littérature populaire qui parle des vrais gens. Ceux qui bossent, qui triment qui vivent dans des cités ou des pavillons de banlieues. La nostalgie, le spleen, les ereurs d'aiguillages sont les fils électrisés et conducteurs de tous les livres de Adam. Une absence qui prend de la place, ces héros du quotidien sont les anti-héros d'une littérature qu'y est maintenant inscrite dans le PLF. Bravo Olivier pour cette simple histoire qui révèle la vraie nature des gens, des petites gens. De bons sentiments dans un pathos inextricable, un noeud d'amour sous les embruns, noyé dans une mer d'acide. Bravo.Des mots pas gnan-gnan qui font mouche. Il ne me reste que quelques ouvrages à lire de M. Adam, je retarde le prochain rappel jusqu'à la limite maximale, c'est à dire bientôt.



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