mercredi 1 décembre 2010

J'ai peur des mouches de San-Antonio.


Vous le connaissez vous Sana, il n'a peur de rien. Sauf cette fois ci, il a peur des mouches.
Il faut dire que la présence de ces insectes s'accompagne souvent de celle de la mort, alors méfi.
Ecrit en 1957, bien avant les pandémies modernes, les armes bactériologiques et les virus mortels, notre commisssaire se retrouve au coeur d'une histoire virale. En Allemagne orientale, un usine pas catholique fabrique un virus dont un policier français, Larieux, se trouve être le vecteur. Le boss missione Sana pour trouver l'antidote, car Lareiux sème la mort si on l'approche de moins de 10 mètres de distance. Voilà nos deux compères partis en quête de l'antidote. Des rebondissements, des séductions, des pirouettes et galipettes plus loin, notre bon commissaire rentre sain et sauf au bercail. Ouf! j'ai eu bien peur de le perdre.
Attention il s'agit d'un Sana de la première décennie et le maître n' a pas encore rodé cette sublime machine sanantonionesque qui fera son succès.
Je termine par une phrase d'un copain de Béru:
" On peut pas paître et avoir tété ", bonne lecture.

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