Un blog de plus dans la blogosphère, nèologisme du net. Je le définirais par : Bazar virtuel, caverne d'Ali Baba, carnet de bord de tout citoyen qui publie ses idées, ses envies, ses coups de coeur et ses coups de gueules. Ici vous trouverez un peu tout ça, mais surtout des histoires de livres. C'est futile, inutile, donc indispensable. Bon surf.
lundi 23 octobre 2017
Astérix et la Transitalique
La question était de savoir s'il était éthique de poursuivre l'oeuvre d'Uderzo et Goscinny avec deux autres auteurs et de savoir s'il était acceptable d'y souscrire en achetant la bédé.
Je n'ai toujours pas la réponse mais j'ai acquis le livre.
Il faut savoir que je ne suis pas un grand fan de cette bédé mais que je pouvais par cette acquisition faire oeuvre de charité envers ma famille qui se délectera de la lire.
Bien, bien, qu'en est-il de cette nouvelle version.
Rien ne me choque dans le dessin et dans le scénario qui sont très proches des Astérix que j'avais pu lire dans ma jeunesse.
Pas de rupture dans le style, les auteurs ont respecté leurs maîtres et ne les offenseront pas.
Il y a peut-être des libertés avec le ton et l'humour. Des gags et surtout des jeux de mots qui modernisent le ton général. Je vous laisse les découvrir.
Astérix et toujours égal à lui-même, Obélix mange toujours des sangliers et veut toujours en découdre avec les romains, Idéfix est là, le barde etc.
Le déroulement est très rapide, peut-etre trop rapide pour moi, on referme déjà la bédé à peine commencée. C'est ce qui m'a frustré avec cet opus.
Elle se lit très bien, et je dirais que le scénario manque un peu de consistance même s'il n'est pas faiblard.
Je pense que les fans ne seront pas déroutés, ne feront pas de mauvais procès aux auteurs qui ont respecté les codes du genre.
C'est du bon boulot, un succès garanti, d'autres devraient suivre avec le même effet sur les lecteurs, les codes étant bien établis et les scénari illimités.
Peut-être que cette nouvelle mouture ramènera de jeunes lecteurs vers les anciennes versions.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire