La mort ce passage ...
C'est le second livre que je lis de cet auteur, le précédent était La force du silence.
Disons le tout clair, écrire un livre qui traite de la mort n'et pas très vendeur, de surcroît s'il s'agit de celles de moines. En ces temps de déchristianisation des peuples européens ce genre de bouquin n'a pas quoi de faire rêver.
Erreur, Nicolas DIAT, avec un style élégant, un sens du récit respectueux pour les moines nous livre divers témoignages qu'il est allé glaner au sein de différents monastères français.
On sent qu'il connaît bien le monde de la religion chrétienne et lève avec pudeur et délicatesse un coin du voile, celui de la mort
La mort , sa vision, la fin de vie, l'acharnement thérapeutique, l'euthanasie, les répercussions au sein des monastères sont développés sans tabou.
J'ai été surpris que des moines se livrent ainsi, personnes peu propices aux effusions.
C'est sans doute dû à la personnalité de l'auteur qui a su mettre en confiance ces hommes de foi.
Il y est question également de suicide, de dépression. J'ai été surpris d'apprendre que les moines, personnes avec la foi chevillée au corps et au coeur, pouvaient être dépressifs.
Ce qui m'a encore plus surpris c'est que certains moines ont peur de la mort !
Le chapitre qui m'a le plus ému est celui qui concerne les Chartreux, quelle foi !
On se sent minuscule face à l'abnégation de ces moines quasiment solitaires, vivant reculés, loin de la fureur du monde.
Les deux moines qui m'ont toujours impressionné sont Padre Pio et Saint Charbel, les Chartreux sont également exemplaires dans la façon de vivre leur foi et leur attitude face à la mort.
Etat transitoire vers les cieux et l'éternité.
Un livre qui n'est pas destiné aux grenouilles de bénitiers, chacun pourra y trouver des ressources grâce à l'intimité avec les moines qui parcourt tout les témoignages.
Un livre que je recommande à toutes les personnes, croyantes ou non , qui s'interrogent, qui vivent ce moment délicat au sein de leur famille, ceux qui sont pleins de certitudes comme d'incertitudes sur ce grand mystère qu'est la mort.
Disons le tout clair, écrire un livre qui traite de la mort n'et pas très vendeur, de surcroît s'il s'agit de celles de moines. En ces temps de déchristianisation des peuples européens ce genre de bouquin n'a pas quoi de faire rêver.
Erreur, Nicolas DIAT, avec un style élégant, un sens du récit respectueux pour les moines nous livre divers témoignages qu'il est allé glaner au sein de différents monastères français.
On sent qu'il connaît bien le monde de la religion chrétienne et lève avec pudeur et délicatesse un coin du voile, celui de la mort
La mort , sa vision, la fin de vie, l'acharnement thérapeutique, l'euthanasie, les répercussions au sein des monastères sont développés sans tabou.
J'ai été surpris que des moines se livrent ainsi, personnes peu propices aux effusions.
C'est sans doute dû à la personnalité de l'auteur qui a su mettre en confiance ces hommes de foi.
Il y est question également de suicide, de dépression. J'ai été surpris d'apprendre que les moines, personnes avec la foi chevillée au corps et au coeur, pouvaient être dépressifs.
Ce qui m'a encore plus surpris c'est que certains moines ont peur de la mort !
Le chapitre qui m'a le plus ému est celui qui concerne les Chartreux, quelle foi !
On se sent minuscule face à l'abnégation de ces moines quasiment solitaires, vivant reculés, loin de la fureur du monde.
Les deux moines qui m'ont toujours impressionné sont Padre Pio et Saint Charbel, les Chartreux sont également exemplaires dans la façon de vivre leur foi et leur attitude face à la mort.
Etat transitoire vers les cieux et l'éternité.
Un livre qui n'est pas destiné aux grenouilles de bénitiers, chacun pourra y trouver des ressources grâce à l'intimité avec les moines qui parcourt tout les témoignages.
Un livre que je recommande à toutes les personnes, croyantes ou non , qui s'interrogent, qui vivent ce moment délicat au sein de leur famille, ceux qui sont pleins de certitudes comme d'incertitudes sur ce grand mystère qu'est la mort.
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