TA MERE LAPUTE !
Titre provocateur, non, évocateur.
Ce livre est un pavet dans la marre, bizarrement il ne fait pas l'objet de traitement médiatique très élevé.
On lui préfère les déboires du pantin Buisson et de ses cassettes.
Passons.
L'Iran, ce magnifique pays avec sa révolution islamique et tout le bonheur que cela a apporté à la population.
Le bonheur de vivre au moyen-âge.
Une société muselée, comme les femmes qui je me demande encore pourquoi on les appelle de cette manière.
J'hésite entre la chose impure et le sac à foutre bien utile pour se soulager.
Je suis vulgaire mais moins que tout ces mollahs qui font la pluie et le beau temps.
Pluie sur les femmes et ciel bleu sur les hommes.
Société muselé régie par l'islam qui comme chacun le sait et loin du modèle californien.
L'auteur fait le portrait de prostituées ou s'entremêle les destins de deux jeunes filles qui deviendront .... pute.
J'ai le sentiment que le choix est vite fait en Iran. Ou vous êtes une pute ou alors l'une des quatre femmes d'un mari qui va aux putes et qui se droguent.
Et encore,parmi ses femmes mariées de nombreuses se prostituent pour payer la dope de leur époux et famille.
Ce pays au regard de ce livre semble être un vaste champ de camés.
Bizarrement je n'ai pas vu poindre les poitrines dénudées des femens dans cette partie du monde !
Le livre est noir, mais noir brillant.
Ces femmes ont encore une joie au fond d'elle, un courage qui nous fait comprendre que oui, la femme est l'avenir de l'homme.
C'est peut-être qu'il est bien dans son présent merdique que l'homme iranien voile sa femme.
Je pense que c'est un trouillard, une lopette qui use de sa force pour contraindre celle qui est plus forte que lui dans bien des domaines.
A l'heure ou de plus de femmes se voilent en France, il serait utile qu'elles comprennent que leur avenir sera similaire à leur soeur iranienne. Car les architectes de cette mode sont de la même secte néfaste.
Toutes ces femmes m'ont plu, l'une d'elle m'a plus touché. Celle qui en dépit de milliers de passes continuent à croire en Dieu et lui prie de comprendre que ce qu'elle fait ce n'est pas elle, en son être profond, qui le fait mais sa condition de femme iranienne.
Je n'ai pas entendu dire que l'auteur avait une fatwa sur sa tête.
Je la salue, elle et son courage.
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