Un livre qui apporte de l'eau à mon moulin, celui du complot.
Kempf ne fait pas partie du réseau Voltaire, ne semble pas être un soutien de Soral et semble connaître son sujet sur le bout des doigts.
Il avait l'inconvénient également d'être journaliste à ce journal de collabos et de menteurs qu'est Le Monde.
Il ne doit pas être si idiot puisqu'il l'a quitté dernièrement, se plaignant d'un manque de liberté journalistique ( 3 milliardaires sont à la tête du Monde ).
Son postulat est qu'une oligarchie s'est octroyée la gouvernance de la planète, qu'elle se réunit pour convenir de la direction à donner à l'humanité sur un plan économique, social et écologique ( Bidedeberg est une réalité).
Cette oligarchie régente ces domaines à son propre profit au détriment évidemment du reste de l'humanité.
Privatisation des entreprises nationales, capitalisme débridé, hédonisme de luxe d'une hyper classe mondialisée qui n'a fait que croître au fil des dernières décennies.
Cynique comme peut l'être un DSK qui joue sur plusieurs tableaux, mettant à profit son expérience et son réseau politique pour faire fortune. Il n'y a pas que lui, Blair Schroder, Sarkozy et tous les autres énarques, polytechniciens, milliardaires et personnages aux influences multiples mais orientées.
Une caste qui se protège, qui s'entraide, qui occupe toutes les couches supérieures des administrations, voir l'hypocrite Obama qui fait campagne avec une équipe proposant des idées de justice et qui vire tout le monde après l'élection pour s'entourer d'anciens de wall street.
Kempf , crime de lèse-journaliste, incrimine sa propre caste qui n'est en général que le toutou de l'oligarchie.
La télé et ses programmes abrutissants les masses, la pub, les jeux vidéos tout contribue à annihiler les énergies citoyennes pour les rendre plus serviles.
Pour Kempf nous ne sommes plus en démocratie mais en oligarchie, mais qui l'ignore !
Kempf évoque trois hypothèses pour l'avenir, ou l'oligarchie écrasera tout, ou elle se scindera avec une partie qui rejoindra les aspirations du peuple ( on peut rêver), ou un soulèvement du peuple pour réinstaller la démocratie ( cours toujours).
Kempf est un journaliste écolo qui pense que l'écologie sera au centre du débat démocratique et que la pression du changement climatique imposera de nouvelles règles ( probable).
Un volet intéressant est celui de la sécurité et de ses dérives installées par l'oligarchie pour se protéger et protéger l'avenir en cas d'émeutes d'une population appauvrie et désespérée qui sera déchaînée ( très envisageable ).
Essai court, incisif, Kempf semble protéger son avenir car jamais il ne cite la caste dont on n'a pas le droit de dire le nom.
Gage encore d'intelligence évitant ainsi à son livre de passer sous les fourches caudines de la censure médiatique.
A lire pour tout ceux qui pensent que l'on prend pour des cons et qui comme moi ne peuvent pas y changer grand chose, sinon en avoir conscience.
Kempf ne fait pas partie du réseau Voltaire, ne semble pas être un soutien de Soral et semble connaître son sujet sur le bout des doigts.
Il avait l'inconvénient également d'être journaliste à ce journal de collabos et de menteurs qu'est Le Monde.
Il ne doit pas être si idiot puisqu'il l'a quitté dernièrement, se plaignant d'un manque de liberté journalistique ( 3 milliardaires sont à la tête du Monde ).
Son postulat est qu'une oligarchie s'est octroyée la gouvernance de la planète, qu'elle se réunit pour convenir de la direction à donner à l'humanité sur un plan économique, social et écologique ( Bidedeberg est une réalité).
Cette oligarchie régente ces domaines à son propre profit au détriment évidemment du reste de l'humanité.
Privatisation des entreprises nationales, capitalisme débridé, hédonisme de luxe d'une hyper classe mondialisée qui n'a fait que croître au fil des dernières décennies.
Cynique comme peut l'être un DSK qui joue sur plusieurs tableaux, mettant à profit son expérience et son réseau politique pour faire fortune. Il n'y a pas que lui, Blair Schroder, Sarkozy et tous les autres énarques, polytechniciens, milliardaires et personnages aux influences multiples mais orientées.
Une caste qui se protège, qui s'entraide, qui occupe toutes les couches supérieures des administrations, voir l'hypocrite Obama qui fait campagne avec une équipe proposant des idées de justice et qui vire tout le monde après l'élection pour s'entourer d'anciens de wall street.
Kempf , crime de lèse-journaliste, incrimine sa propre caste qui n'est en général que le toutou de l'oligarchie.
La télé et ses programmes abrutissants les masses, la pub, les jeux vidéos tout contribue à annihiler les énergies citoyennes pour les rendre plus serviles.
Pour Kempf nous ne sommes plus en démocratie mais en oligarchie, mais qui l'ignore !
Kempf évoque trois hypothèses pour l'avenir, ou l'oligarchie écrasera tout, ou elle se scindera avec une partie qui rejoindra les aspirations du peuple ( on peut rêver), ou un soulèvement du peuple pour réinstaller la démocratie ( cours toujours).
Kempf est un journaliste écolo qui pense que l'écologie sera au centre du débat démocratique et que la pression du changement climatique imposera de nouvelles règles ( probable).
Un volet intéressant est celui de la sécurité et de ses dérives installées par l'oligarchie pour se protéger et protéger l'avenir en cas d'émeutes d'une population appauvrie et désespérée qui sera déchaînée ( très envisageable ).
Essai court, incisif, Kempf semble protéger son avenir car jamais il ne cite la caste dont on n'a pas le droit de dire le nom.
Gage encore d'intelligence évitant ainsi à son livre de passer sous les fourches caudines de la censure médiatique.
A lire pour tout ceux qui pensent que l'on prend pour des cons et qui comme moi ne peuvent pas y changer grand chose, sinon en avoir conscience.