Je n'ai jamais lu de roman de cet auteur pour une raison majeure.
Elle est un soutien au terroriste assassin communiste Cesare BATTISTI et cela me suffit pour la bannir de mes lectures.
Egalement, cela fait des années que je n'ai pas lu de polar, étant lassé de ce genre de bouquin ou tout fini par se ressembler.
Sauf que parfois la vie fait des cadeaux et surtout aux alentours de Noël.
On m'a donc offert ce roman. J'ai mis mes convictions et mes résolutions sous le boisseau et commencé la lecture.
En dépit de ce que j'ai dit plus haut je vais être tout à fait objectif, si, si je peux l'être.
Je n'ai pas la possibilité de comparer avec les autres ouvrages.
Le style de l'auteur n'a rien de particulier, il est assez banal et comparable à la production générale.
L'intrigue est tirée par les cheveux et surtout la séquence du retour sur l'île où sont retrouvés les petits os d'un homme et d'une femme après 10 années de tempête.
La longue séquence de reconstitution de l'assemblée est au début jouissive puis devient lassante.
Il faut parfois se contraindre à relancer la lecture qui perd son rythme. A mon avis le livre aurait été amputé de 60 pages qu'il n'aurait rien perdu de son intérêt.
Les principaux personnages ne sont pas attachants, le commissaire et son équipe manque de relief et les personnages secondaires s'effacent vite au fil des pages.
Le rythme est prenant, l'intrigue a parfois des rebonds intéressants mais peine à convaincre.
Ce que j'ai apprécié c'est que l'auteur nous épargne les scènes sanguinolentes à la Chattam et Thilliez.
Outre ses convictions politiques je dirais que ce livre n'est pas un mauvais roman, vous voyez que je ne suis pas méchant, que le style de l'auteur plaira à beaucoup de lecteurs, que l'intrigue elle aussi plaira aussi bien aux hommes qu'aux femmes et comme elle est saupoudrée de culture historique flattera les plus exigeants des lecteurs.
Donc je recommande sans problème ce livre qui semble d'ailleurs avoir fait son chemin sans avoir attendu mon avis.
Je continuerai à ne pas acheter ses livres qui pourrait profiter à la villégiature d'un assassin réfugié au Brésil.
Elle est un soutien au terroriste assassin communiste Cesare BATTISTI et cela me suffit pour la bannir de mes lectures.
Egalement, cela fait des années que je n'ai pas lu de polar, étant lassé de ce genre de bouquin ou tout fini par se ressembler.
Sauf que parfois la vie fait des cadeaux et surtout aux alentours de Noël.
On m'a donc offert ce roman. J'ai mis mes convictions et mes résolutions sous le boisseau et commencé la lecture.
En dépit de ce que j'ai dit plus haut je vais être tout à fait objectif, si, si je peux l'être.
Je n'ai pas la possibilité de comparer avec les autres ouvrages.
Le style de l'auteur n'a rien de particulier, il est assez banal et comparable à la production générale.
L'intrigue est tirée par les cheveux et surtout la séquence du retour sur l'île où sont retrouvés les petits os d'un homme et d'une femme après 10 années de tempête.
La longue séquence de reconstitution de l'assemblée est au début jouissive puis devient lassante.
Il faut parfois se contraindre à relancer la lecture qui perd son rythme. A mon avis le livre aurait été amputé de 60 pages qu'il n'aurait rien perdu de son intérêt.
Les principaux personnages ne sont pas attachants, le commissaire et son équipe manque de relief et les personnages secondaires s'effacent vite au fil des pages.
Le rythme est prenant, l'intrigue a parfois des rebonds intéressants mais peine à convaincre.
Ce que j'ai apprécié c'est que l'auteur nous épargne les scènes sanguinolentes à la Chattam et Thilliez.
Outre ses convictions politiques je dirais que ce livre n'est pas un mauvais roman, vous voyez que je ne suis pas méchant, que le style de l'auteur plaira à beaucoup de lecteurs, que l'intrigue elle aussi plaira aussi bien aux hommes qu'aux femmes et comme elle est saupoudrée de culture historique flattera les plus exigeants des lecteurs.
Donc je recommande sans problème ce livre qui semble d'ailleurs avoir fait son chemin sans avoir attendu mon avis.
Je continuerai à ne pas acheter ses livres qui pourrait profiter à la villégiature d'un assassin réfugié au Brésil.